COSMETIC VALLEY au One Forest Summit 2023

A l’invitation du Président de la République Emmanuel Macron au One Forest Summit au Gabon, le pôle COSMETIC VALLEY représenté par Christophe Masson a participé aux côtés de Shirley Billot, fondatrice de la marque martiniquaise Kadalys, aux tables-rondes et débats sur les enjeux de la préservation et la gestion durable des forêts.

Cette première journée leur a permis de :

  • Témoigner de la nécessité de l’étude de la cosmétopée forestière, véritable richesse naturelle et vecteur de développement économique local.
  • Rappeler les exigences réglementaires liées au développement d’ingrédients et produits cosmétiques naturels, prérequis pour l’accès au marché et à la protection de l’homme et de la planète.

Lors du 2ème jour, COSMETIC VALLEY a annoncé la mise en place d’un nouvel outil de développement : une dotation financière de plus de 500 k€ pour l’étude de la cosmétopée forestière du bassin du Congo (Afrique centrale). Ce financement, porté par le fonds de dotation de COSMETIC VALLEY, permettra l’allocation de bourses pour la réalisation, sur place, de stages, thèses de doctorat et post-doctorats dans le domaine de la cosmétopée.

Cet engagement des adhérents de la filière cosmétique française vise à permettre l’étude et le recensement, par les acteurs locaux, des ressources génétiques végétales issues de la forêt et leurs usages traditionnels pour la protection et la beauté de la peau et des cheveux. Il s’agit, au-delà du recensement et de la conservation de traditions encore orales, de contribuer à la préservation du patrimoine de l’Afrique et d’en faire, dans le respect du protocole de Nagoya et à l’initiative des acteurs locaux, un levier de développement économique local.

 

Image retirée.

A propos de la cosmétopée

La filière parfumerie-cosmétique française réunie et coordonnée par COSMETIC VALLEY a initié en 2010 le concept de cosmétopée. A l’instar de la pharmacopée dans le domaine de la pharmacie, elle vise à faire l’inventaire des ressources naturelles et de leurs usages traditionnels pour le soin et le bien-être de la peau. Elle est ainsi un levier de conservation de la biodiversité qui impulse une dynamique nouvelle pour une meilleure connaissance des usages traditionnels des plantes ; il s’agit d’abord de recenser et mettre en forme les propriétés cosmétiques des ressources botaniques de la planète.

 

Lire le communiqué de presse

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